Agir ensemble pour changer les comportements sur la route.
Nous proposons quelques conseils pratiques pour passer un trajet serein et en toute sécurité.
De prime abord, pour une sécurité maximale durant votre trajet, il est fortement conseillé de prendre la route à une heure où vous serez en plein forme.
Privilégiez le matin et assurez-vous d'être bien reposé pour garantir un état de vigilance optimal.
Vous devez bien obéir au code de la route, en premier lieu les règles de conduite notamment, la vitesse mais aussi les règles à l'intérieur du véhicule.
Ainsi, le chauffeur doit s'assurer que tous les passagers sont munis d'un masque, d'un test PCR négatif d'une validité de 14 jours, et d'une autorisation de circuler délivrés par les services compétents du Ministère de l'Intérieur à la sortie du Grand Libreville. Cela est nécessaire pour éviter la propagation du virus Corona 19.
Dans un long trajet, une pause d'au moins 15 minutes toutes les deux heures est essentielle pour tous les occupants du véhicule.
Aussi, si les signes de fatigue (bâillement, trouble visuelle, lenteur de réaction) se manifestent chez le conducteur, il est impératif de s'arrêter pour se reposer. Sur la route, le conducteur se doit d'être vigilant concernant ce qu'il consomme.
Si vous suivez un traitement médical, vérifiez que celui-ci est compatible avec la conduite.
Pour ce qui est de l'alimentation, privilégiez un repas léger, évitez trop gras ou sucré et buvez de l'eau régulièrement.
Ces quelques précautions garantissent la vigilance et évite l'endormissement. Il est bien sûr évident que le chauffeur ne consomme ni drogue, ni alcool avant de prendre le volant.
En somme :
- Prenez le départ opposé ;
- Intégrez une pause de quinze minutes toutes les deux heures pour les longs trajets ;
- Dès les premiers signes de somnolence, reposez-vous ;
Les grands départs en vacances doivent s'effectuer dans le strict respect des mesures barrières édictés par le Gouvernement en rapport à la pandémie de la Covid 19. Le port du masque est obligatoire pour les chauffeurs et tous les passagers ainsi que les tests PCR négatifs et l'autorisation spéciale de circuler. Tous les contrevenants s'exposent aux sanctions prévues par la loi. D'où l'appel de la Direction Générale de la Sécurité Routière au civisme et à la responsabilité des usagers de la route pendant cette période de forte densité du trafic routier.
Si la plus peut sembler anodine, c'est en réalité loin d'être le cas lorsque nous sommes au volant. Auto-Moto vous donne ses conseils pour conduire en toute sécurité !
Par temps de pluie, et même si cela ne semble pas changer grand-chose pour vous en apparence, le risque d'accident est considéraient accru, du fait du manque d'adhérence et de visibilité. De ce fait, il convient de prendre ses précautions pour limiter le danger, en adoptant des bons gestes qui peuvent changer la donne en cas de conditions climatiques difficiles. Auto-Moto vous donne cinq conseils pour mieux gérer cette situation et éviter de prendre des risques.
Avant toute chose, pensez toujours à adapter votre allure et ralentir si besoin si la pluie est trop forte. Tout d'abord en raison du manque de visibilité, qui nécessite donc une dose d'anticipation supplémentaire. Par ailleurs, qui dit intempéries dit adhérence réduite, d'où l'importance de réduire votre vitesse afin de mieux pouvoir réagir en cas d'urgence, alors que les distances de freinage sont largement allongées. Par ailleurs, une allure plus basse contribue également à réduire le risque d'aquaplaning et les dangers qui vont avec. En cas de forte pluie, et si la visibilité ne dépasse pas les 50 mètres, il est par ailleurs conseillé de ne pas dépasser les 50 km/h.
Même si vous conduisez en plein jour, pensez à toujours garder vos feux allumés, afin d'être plus visible sur la route. L'idéal reste encore d'utiliser vos feux de croisements, et non seulement ceux de positionner, ce qui vous permettra également de mieux voir les autres, ainsi que les éventuels dangers parfois rendus moins visibles par la pluie. Ralentisseurs, objets sur la voie ou encore nids de poule seront ainsi plus faciles à éviter. Si la pluie est trop forte, vous pouvez allumer vos feux de brouillards, mais uniquement à l'avant afin de ne pas éblouir les automobilistes autour de vous. L'usage des feux arrière sont quant à eux interdits, sauf en cas de brouillard épais et de chutes de neige importantes.
Si cela reste un réflexe en cas de danger, évitez au maximum de freiner trop fort et trop brusquement lorsque vous roulez sous la pluie, au risque de faire déraper votre voiture et de provoquer un accident. Le mieux reste de réduire sa vitesse au maximum, et de ralentir en relâchant simplement la pédale d'accélérateur, en privilégiant toujours la douceur, afin d'éviter les risques inutiles. D'autant plus que le freinage est bien moins efficace sous la pluie, en raison de la chaussée devenue plus glissante. C'est d'ailleurs tout particulièrement le cas en début de pluie, alors que l'eau se mêle à l'huile et aux éventuels débris sur la route.
EOn a beau avoir le permis depuis de longues années, on reste toujours de grands enfants, et cela se voit tout particulièrement quand il pleut. Qui n'a jamais été tenté de rouler dans une flaque d'eau au cours de sa vie d'automobiliste ? Mais outre le fait que cela salit la voiture et peut également éclabousser un piéton ou un cycliste, cette pratique est également dangereuse, favorisant les risques d'aquaplaning. Sans parler du fait que l'on ne sait pas vraiment où l'on met les roues, et que la flaque peut alors s'avérer plus profonde que prévu, ce qui risque alors d'endommager le véhicule ou de provoquer un accident. Le mieux reste encore d'éviter celles-ci, sans pour autant faire d'écart et en pensant toujours à mettre son clignotant.
Vous l'avez donc compris, conduire sous la pluie demande une certaine anticipation, en raison du manque d'adhérence. S'il est donc primordial d'abaisser sa vitesse, il est aussi très important de penser à augmenter la distance de sécurité avec les autres automobilistes, afin d'éviter une collision en cas de freinage brusque. Par ailleurs, rester à distance des autres voitures vous permettra également de ne pas subir les projections d'eau, pouvant faire largement baisser la visibilité et rendre la situation dangereuse.
Utilisés au quotidien sur votre voiture, les balais d'essuie-glace sont sensibles à l'usure due aux variations de température, à la pollution ou encore au vieillissement. Si vos balais d'essuie-glace laissent des traces ou font du bruit lors de leur passage sur votre pare-brise, c'est qu'il est temps de les changer. Dans l'idéal, il est préférable de les remplacer deux fois par an, à la fin de l'hiver et de l'été car ces pièces en caoutchouc sensibles au froid et à la chaleur auront été mises à rude épreuve.
Il existe plusieurs types d'essuie-glace : les classiques en " U ", montés sur la plupart des véhicules et les flexibles " flat blade ", qui épousent la forme de votre pare-brise. Après avoir sélectionné le modèle adapté à votre véhicule, et nettoyé votre pare-brise pour en retirer les impuretés, il vous suffit de soulever délicatement à la verticale le bras d'essuie-glace, de déclipser et d'extraire le balai usagé, puis d'installer le balai neuf en le clipsant à nouveau. Si vous n'êtes pas à l'aise avec cette opération, vous pouvez demander conseil aux experts Rapid Pare-Brise, qui auront le plaisir de vous conseiller et de vous aider gratuitement.
Pour ralentir l'usure de vos balais d'essuie-glace, il est possible de les préserver en effectuant quelques gestes simples : nettoyez régulièrement avec un chiffon humide les insectes et les saletés incrustées sur votre pare-brise, ainsi que sur la raclette en caoutchouc de vos balais d'essuie-glace.
Veillez également à ne pas utiliser vos balais à sec, ce qui peut les endommager : une vérification régulière de votre niveau de liquide lave-glace est alors indispensable pour garantir une performance de nettoyage optimale. Enfin, en hiver, n'utilisez pas vos balais d'essuie-glace pour chasser la neige ou le givre accumulés sur le pare-brise de votre véhicule au risque de les endommager.
Les bruits de la courroie d'alternateur peuvent s'apparenter à un léger bruit métallique de grelot, un léger bruit de roulement ou un crissement aigu. Voici leurs significations :
- Un léger bruit métallique de grelot signifie que les stries d'une courroie d'alternateur sont abîmées, qu'une courroie n'est pas correctement insérée sur les empreintes des poulies ou que les poulies ne sont pas en alignement. Ce bruit peut aussi provenir du tendeur de la courroie dynamique ou de la poulie débrayable de l'alternateur.
- Un léger bruit de roulement signifie que la courroie d'alternateur est trop tendue et qu'elle manque de dimension.
- Un crissement aigu signifie que la courroie d'alternateur est détendue ou que la poulie Damper est détériorée.
Les bruits de la courroie d'alternateur indiquent des dysfonctionnements. Voici les solutions :
- Pour remédier au bruit métallique au niveau de la courroie d'alternateur, remplacez la courroie ou la poulie d'alternateur. Si vous ne réagissez pas, la courroie risque de se rompre et d'autres organes pourraient être endommagés.
- Pour en finir avec le bruit de roulement au niveau de la courroie d'alternateur, vous avez le choix entre détendre ou remplacer la courroie. Là aussi, le problème doit être traité rapidement pour ne pas abîmer la poulie Damper et d'autres organes.
- Pour que le crissement aigu au niveau de la courroie d'alternateur cesse, retendez ou remplacez la courroie et la poulie si vous ne constatez ni fissures ni craquelures.
La courroie d'alternateur assure la transmission du mouvement de rotation du moteur à l'alternateur, au compresseur de climatisation et à la pompe de direction. Contrairement à la courroie de distribution, elle n'exerce pas de mouvements synchronisés.
DGSR